Une petite astuce qui vous permettra de rechercher tous les liens symboliques erronés de votre machine. Très pratique quand il y a des liens dans 1000 sous-répertoires un peu partout dans la machine.
find / -type l | perl -lne 'print if ! -e'
Juste après le find vous avez un « / ». Mettez le répertoire que vous voulez scanner.
J’ai trouvé un trick assez intéressant, qui permet de limiter l’accès un certain nombre d’IP pour un login en particulier sur ProFTPd :
Module a utiliser pour réaliser ce trick : mod_ifsession
novembre 22nd, 2010 
Aki - 
<class MarkAsRead>
From 1.2.3.4/32
From 5.6.7.8/32
</class>
<ifUser MarkAsRead>
<limit LOGIN>
AllowClass MarkAsRead
DenyAll
</limit>
</ifUser>
la suite n’est pas nécessaire, mais peut être utile aussi (pas besoin du module ifsession)
Limiter l’accès à l’arborescence /home/MarkAsRead/ à la classe MarkAsRead (et par conséquent aux IP qui y sont associées) ainsi qu’à l’utilisateur MarkAsRead.
<directory /home/MarkAsRead/>
<limit ALL>
AllowClass MarkAsRead
</limit>
<limit LOGIN>
AllowUser MarkAsRead
DenyAll
</limit>
</directory>
Vous en avez marre lorsque vous téléchargez un fichier que Windows vous dise « L’éditeur n’a pas pu être vérifié« , c’est possible de le supprimer simplement.
Démarrer > exécuter > gpedit.msc
Allez dans Configuration utilisateur > modèles d’administration > Composants Windows et Gestionnaire de pièces jointes. Double cliquez sur Liste d’inclusions par les types de fichiers à risques modéré.
Dans l’onglet Paramètre, vous aurez trois choix, « Non configuré », « Activé » et « désactivé ». Cliquez sur « Activé » et dans l’encart « Entrez les extensions à risque modéré mettez par exemple .exe, .pdf
Essayez d’ouvrir un fichier .exe que vous n’avez jamais ouvert avant, et par magie il ne vous demande plus.
Merci à Sam de l’info
Aujourd’hui, et après des heures de recherches, j’ai enfin trouvé l’expression régulière qui vérifie que la syntaxe d’une adresse IP est bien formulée…
Sans plus attendre, la voilà :
^((25[0-5]|2[0-4][0-9]|1[0-9]{2}|[1-9][0-9]|[0-9])[.]){3}(25[0-5]|2[0-4][0-9]|1[0-9]{2}|[1-9][0-9]|[0-9])$
Sa seule limitation, c’est de ne pas vérifier si l’IP fait partie d’une classe d’adresse IP (10.xxx.xxx.xxx, 172.16.xxx.xxx -> 172.31.xxx.xxx et 192.168.xxx.xxx) mais on peut le vérifier simplement par la suite.
Vous avez peur que vos visiteurs regardent vos Stats ? nous allons voir comment protéger awstats avec un htaccess.
Tout d’abord, nous allons construire le « .htpasswd », ce fichier permet de stocker le(s) utilisateur(s) / mot(s) de passe ayant droit d’accéder à nos statistiques. Pour une meilleure facilité, je préfère placer le fichier .htpasswd directement dans « /etc/awstats/ ». Allez fini de parler, allons-y :
cd /etc/awstats/ /usr/bin/htpasswd -cb .htpasswd admin 123456
Aide :
-c : Créez le htpasswd. Si le htpasswd existe déjà, il est réécrit et tronquée.
-b : Utilise le mode « bash »
.htpasswd : chemin de notre .htpasswd, nous aurions très bien pu « /etc/awstats/.htpasswd »
admin : l’utilisateur
123456 : le mot de passe
Voilà, maintenant vous pouvons voir notre fichier .htpasswd, vous allez me dire – Oui c’est bien mais notre .htaccess maintenant ?
Awstats étant créer par le cgi, nous ne pouvons pas créer un fichier .htaccess, mais nous allons faire encore mieux, utiliser le vhost de apache2 pour le faire. pour cela direction :
cd /etc/apache2/sites-enabled vi tools.inrage.fr.cfg
Aide :
tools.inrage.fr.cfg : votre fichier de vhost, dans mon cas c’est celui-ci.
Une fois dans le fichier, nous allons ajouter les directive pour que notre .htpasswd serve à quelque chose 
Recherchez la ligne « <Directory /usr/lib/cgi-bin/> … </Directory> » et a l’intérieur de cette ligne rajoutez ça :
<directory /usr/lib/cgi-bin/> Options None AllowOverride None Order allow,deny Allow from all AuthType Basic AuthName "Acces Restreint" AuthGroupFile /dev/null AuthUserFile /etc/awstats/.htpasswd <limit POST GET> require valid-user </limit> </directory>
vous pouvez enregistrer votre fichier et nous allons redémarrer apache2 :
/etc/init.d/apache2 reload
Accéder à vos stats et par magie il vous demande un mot utilisateur/mot de passe
Solution alernative, toujours avec un fichier .htpasswd, mais des limites quelque peu différentes.
Tout d’abord, il est possible de créer une configuration globale pour l’ensemble des vhosts traités par cette instance d’Apache.
Il suffit de mettre ceci dans un fichier de conf que Apache va loader au démarrage (sur Debian, créez, par exemple, /etc/apache2/conf.d/awstats.conf).
Puis, il suffit d’y mettre :
<Files awstats.pl>
AuthType Basic
AuthName "RESTRICTED"
AuthUserFile /etc/awstats/.htpasswd
require valid-user
Order allow,deny
Allow from 217.174.206.179
satisfy any
</Files>
Vous noterez que j’ai mis un allow sur l’IP « 217.174.206.179 », couplé à un « satisfy any » indique qu’au moins une des conditions doit être remplie pour valider l’action (accéder au fichier awstats.pl), ici, l’IP match, donc pas besoin de login/password.
Cette configuration peut sembler trop restrictive.
Il serait tout a fait possible de placer la directive « File » dans une directive « Directory » comme Aki l’expose ci-dessus :
<directory /usr/lib/cgi-bin/>
<Files awstats.pl>
AuthType Basic
AuthName "RESTRICTED"
AuthUserFile /etc/awstats/.htpasswd
require valid-user
Order allow,deny
Allow from 217.174.206.179
satisfy any
</Files>
</directory>
Après plusieurs heures de recherche sur Internet, j’ai enfin trouvé comment désactiver le multitache d’un iPhone (Jailbreak) 3G/3GS. Vous allez me demander, pourquoi vouloir désactiver le multitâche alors que ça fait 3 ans que l’on attend cette fonctionnalité. Alors pour répondre à ces questions, le multitâche sur un iPhone 3G est très lourd et fait ralentir toutes les applications.
Pour cela, vous avez besoin :
– D’un iPhone 3G/3GS Jailbreak
– d’un accès SSH au téléphone via Cydia (Cliquez-ici pour apprendre comment faire)
Donc pour cela connectez-vous en SSH à votre iPhone et on va se déplacer dans le répertoire SpringBoard :
cd /System/Library/CoreServices/SpringBoard.app/
Ensuite nous allons éditer le fichier N82AP.plist :
nano N82AP.plist
Une fois dans le fichier, nous allons aller à la ligne 35 environs, vous devriez voir cela :
<key>multitasking</key> <false/>
Changer tout simplement le « true » en « false » en dessous de <key>multitasking</key>.
Pensez à redémarrer votre iPhone et le tour est joué. Fini les lags de 3secondes quand vous tapez quelque chose
Aujourd’hui nous allons apprendre comment changer ce fameux répertoire C:\wamp\www en D:\www. Car c’est vrai que niveau manipulation c’est assez pénible de devoir aller chercher un projet web au fin fond de windows… Nous allons commencer par modifier le fichier httpd.conf d’Apache, éditez le fichier C:\wamp\bin\apache\Apache2.2.11\conf\httpd.conf :
Rechercher et remplacer à la ligne ~178 :
DocumentRoot "C:/wamp/www/"
par
DocumentRoot "D:/www/"
Ensuite à la ligne ~205, recherchez et remplacez :
<Directory "C:/wamp/www/">
par :
<Directory "D:/www/">
Et finalement nous allons modifier le script du lancement de Wamp. Plus précisément, définir le chemin pour l’accès rapide au répertoire via l’icône Wamp du System Tray. Il s’exécutera à chaque lancement du programme.
Rendez-vous dans le fichier C:\wamp\scripts\config.inc.php, cherchez la ligne 47 environs et remplacez :
$wwwDir = $c_installDir.'/www';
par
$wwwDir = 'D:/www';
Il ne vous reste plus qu’à fermer et relancer Wamp pour que ces modifications soient bien prises en compte.
Dans ce tutoriel, nous allons apprendre comment placer un flash en dessous d’un DIV, par exemple pour un menu déroulant qui passerait en dessous d’un objet Flash. En gros c’est plutôt une astuce qu’un code magique, mais cela fonctionne sans causer de problème au reste du code. En effet nous allons utiliser l’attribut « wmode » pour faire cette feinte. A l’origine, l’attribut wmode= »transparent » permet d’avoir un fond transparent sur un Flash.
Dans ce tutorial nous allons apprendre comment démonter un point de montage directement avec la commande « fuser ». Avec fuser il est possible de tuer certain processus qui bloque le démontage.
L’option « K » propose de faire tout simplement un « kill » sur ces processus et l’option « i » permet de choisir quel processus doit être fermé…
fuser -kimuv $MOINT_POINT
ici on a les options suivantes :
-k [kill le processus]
-i [demande avant de tuer le processus]
-m [voir tous les programmes qui sont utiliser par le point de montage]
-u [Montre les ID utilisateurs]
-v [verbose]
Vous avez toujours revé de lancer vos programmes favoris directement avec « Exécuter… », Je vais vous expliquer comment utiliser les variable d’environnement de Windows… Rien de bien compliqué, encore une fois nous allons rester dans l’environnement « Développeur ».
Je vous explique une peu le concept, vous voulez lancer votre fichier « hosts » pour modifier des entrées mais c’est toujours pénible d’aller dans Windows/system32/drivers/etc et de modifier le fichier hosts, il y a une manière un peu plus simple de le faire. Je vous invite à aller faire un Clique droit sur Poste de travail et d’aller dans l’onglet « Avancé » et ensuite dans « Variables d’environnement » (en bas) comme ci-dessous :
UPDATE : Pour windows 7, rendez-vous sur Clique droit sur Poste de Travail -> Paramètres avancés -> Avancé -> Variables environnements
Une fois dans la fenêtre Variables d’environnement, vous pouvez voir dans « Variables utilisateur pour XXXXX » avec 3 variables par défaut, PATH, TEMP et TMP. C’est PATH qui nous intéresse, sélectionnez le et cliquez sur « Modifier ».
Dans le champs « Valeur de la variable » Rajoutez à la fin : C:\WINDOWS\system32\drivers\etc. N’oubliez pas de séparer vos entrés par un point virgule ( ; )
Appliquez tous les changements, et maintenant testé : Démarrer -> exécuter -> hosts
Magie !! Votre fichier ce lance
